De « vraies » solutions
De nombreuses propositions sont portĂ©es par lâAssociation MobilitĂ© Douce Chablais (AMDC).
Sans nier les difficultés de circulation dans le bas-chablais à certaines heures, il est urgent de repenser nos déplacements.
DĂ©velopper une offre efficace des transports collectifs (bus, train, bateau) et des mobilitĂ©s douces semblent urgent et bien plus productif pour rĂ©sorber les problĂšmes de mobilitĂ© !Â
La grande enquĂȘte
AMDC a rĂ©alisĂ© avec France Nature Environnement une grande enquĂȘte sur la mobilitĂ© dans le Chablais.
DĂ©couvrir lâenquĂšte et les rĂ©sultats.
Docs 2-3-4
Le dĂ©partement a Ă©galement rĂ©alisĂ© sa propre enquĂȘte. Les questions Ă©taient : Quel trajet faites-vous ? Serez-vous un usager potentiel de l'autoroute ? Quel pĂ©age ĂȘtes vous prĂȘt Ă payer ? Mais les rĂ©sultats nâont jamais Ă©tĂ© diffusĂ©s⊠On peut penser quâils nâĂ©taient pas en faveur de lâautoroute !
54 % des déplacements font moins de 5 km
Les déplacements en voiture dans le Chablais sont de courtes distances. Le prix de péage estimé pour le moment à 6⏠l'aller/retour sera prohibitif.
EnquĂȘte du Syndicat Intercommunal dâAmĂ©nagement du Chablais (SIAC)
Plus de route, c'est plus de voitures
Les exemples ne manquent pas , et mĂȘme en Haute Savoie. Cette excellente vidĂ©o rĂ©alisĂ© par l'association hĂ©lvĂšte Actif Trafic nous permet de tout comprendre :
La « lyane » entre GenÚve et Annecy, l'exemple flagrant du désastre autoroutier
Cette autoroute est entrée en service en 2008, avec comme argumentaire la fluidité du trafic dans le villages de Cruseilles. Le calme a duré 2 ans. Aujourd'hui la municipalité envisage une déviation du centre-ville. Au bout de l'autoroute, ce sont 240ha de terres agricoles qui sont desormais menacées dans le PLUI du Grand Annecy pour des infrastructures diverses (logements, zones d'activités...)
Ăa nâavance pas
Le BHNSÂ :
Le développement du Leman Express :
Le covoiturage :
Les pistes cyclables :
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